[CA1]Le cadavre exquit de Tong Deum !

Il y a bien longtemps , dans un petit village qu'on pourait situer entre les Landes de brumes Nord et les eaux du fleuve Oranh ; dans la chaumière du très vénéré et très vénérable Loncho, l'ancien du village se tenait un conseil ...
On devait décider de la mort ou non du fils de Tangin Hoor, le forgeron du village : Othon.

Mais vous ne savez bien sur pas se qui a pu se passer auparavant pour qu'un tel conseil se tienne pour décider de la vie ou de la mort d'un de leur conpatriote !

Laissez moi vous conter cette magnifique histoire ...
Tout commença quand Othon n'avait alors que cinq ans !

Le gamin voulait toujours aller jouer dans la forge de son père, le sacripant, et là...

...comme son jeune âge le rendait maladroit, il faisait tomber les outils. Son père, très colérique décida...

de le punir, afin qu'il comprenne l'importance des outils de son métier. Ainsi, il lui dit " tu passeras la nuit dans la foret, avec comme seule arme le marteau que tu as cassé". La nuit tombée, le jeune garçon se dirigea vers la foret et...

... il se rendit compte qu'il n'y avais plus de foret!
Il remarqua des traces par terres, preuve d'un gigantesque remue ménage: on avait déraciné les arbres et on les avais enmené ailleur.
Il se jeta sue la piste qui l'enmena jusque dans la Lande...

perdue. Et la il se mit a pleurer parce que c'etait la nuit et qu'il etait tout seul ...ravalant ses sanglots, il décida de trouver un endroit pour dormir. Soudain..

il aperçut un grand halo lumineux devant lui. lentement, s'essuyant les larmes des yeux, il s'aprocha de cette lumière.

en se raprochant, il se rendit compte qu'il marchait en dirction de fort tard une des plus grande forteresse de la région .
Arrivé sur place, le choque fut grand. De grandes flames sortait du toit. Le Camps ressemblait à un champs de batail apocalyptique.

il aperçut un homme caché et s'aprocha de lui. Il était couvert de sang et il lui manquait un bras.

Othon, emplit de peure, demanda timidement

"mais mon pauvre homme, que vous est il arrivé? les orques ont ils ataqués?"

l'homme ne l'ayant pas aperçu, eut un susrsaut puis lui répondit, avec beaucoup de tristesse dans la voie :

"Pas les orques, mon pauvre enfant" il y eut une pose durant laquelle l'homme semblait vouloir chasser un cauchemard " non, se sont créaturesde bien, elfs, anges et enths qui nous ont lachement ataqués"

Le garçon en resta interdit. Aprés ce qui lui sembla une éternité, il prononça :

"mais.... pourquoi?"

"pour le pouvoir, pour la victoire sur le mal ils nous ont tués comme des mouches"

La guerre contre les forces du bien, tant redoutée, avait comencée...

Othon prit par un élan de courage, ce qui était eceptionnel vu son bas âge dit au vbeillard:
- "Je ne laisserais pas les peuples des temps ancien temps ravagé notre monde humain, sais tu si il y a une résistance qui s'est installé ...
- "Non , tout ceux qui on résisté on été tué ... hump ! Mais je connais quelq'un qui peut t'aider !

Le veillard bléssé qui qui se nommait en fait Gladulf sortit d'une petite poche intérieure à son par dessus en cuivre un petit sifflt en bronze . il siffla trois cout sec dedant et ...

Une fée apparut. Elle était toute petite, pas plus grande que la main du vieillard dans laquelle se trouvait le sifflet. Othon tressaillit, sachant que les fées étaient des créatures du bien, mais celle-ci le rassura :
_ N'aie crainte petit homme, nous le peuple des fées, sommes un peuple pacifique et passif, quels que soient les conflits, nous n'intervenont jamais, même s'il nous arrive parfois de donner des petits coups de pouces aux créatures qui nous semblent en avoir besoin.
Elle se retourna vers le vieillard :
_ Oula ! T'es dans un sale état, je comprends pourquoi tu m'a appelé...
Vieillard : Il est déjà trop tard pour moi, c'est pour lui que je t'ai appelé...
_ Quoi ?
_ Oui désormais, veille sur lui, je te confie sa bonne garde, le destin de ce petit pourrait bien s'avérer surprenant...
Sur ces mots, le vieillard rassembla ce qui lui restait de force pour appeller Othon et lui remettre le sifflet de cuivre dans le creux de la main.
C'est dans avec ce geste que les dernières forces du vieillard le quittèrent.
...

ainsi, Othon, du haut de son jeune âge était devenu le dernier témoin vivant du massacre de fort Tard. Remis de ses émotions, il décida que jamais il ne rentrerait chez lui. Sa mission, désormais, serait de traquer les forces du Bien, responsables de ce conflit. Sa seule aide serait cette petite fée.

Le jeune hérault partit en direction du Sud, vers la grande ville de Shant. Là, il savait qu'il pourrait y trouver de l'aide. Il n'était pas rare de voir des créatures sorties, tout droit des cercles des enfers, en cette saison à Shant.

Le jeune garçon arriva près du gué de la rivière pourpre. C'est alors qu'une voix venue des hautes herbes de la rive opposée s'adressa à lui.....

Othon étéait paralysé. la voix s'insinuait dans chacun de ses membres et l'emplissait de terreur. Il aurait voulu s'enfuir mais ses pieds refusaient de quitter la terre. Son regard capta un mouvement sous marin qui semblait se rapprocher. C'était La Chose, celle qui peuplait ses cauchemards, celle qui le tourmentait depuis le berceau.
Il en était sur.

"Tu as quelque chose a moi, lui disait elle, et je viens le récupérer"

"Vas t'en, réussit a articuler Othon, laisse moi passer, je vais a Shant"

"Vraiment, à Shant ?, répondit La Chose, emmene moi et...

peut etre que je te quitterai...
Et j'oublierai ce que je veux récupérer, c'est a dire la petite fée...
"quoi?!? que veut tu a cette fée?"
Mais il n'entendis plus rien.
Il hesita a appeler la fée mais s'abstint de peur de la faire fuir...C'etait un allié puissant.
Il continua sa marche vers Shant et durant son voyage, il en oublia cette mésavanture.

Il arriva enfin dans la ville de Shant, qui il faut le rapeller, était une des capitales du mal.
DAns cette ville se croisaient Balrogs, Orcs, Ombres, et autres creatures sorties des enfers...
Il se dirigea droit vers la taverne, un endroit réputé ou l'on pouvais recruter des mecenaires..
Othon avais pour bt de lever un commando afin de détruire les Hautes Autoritées du bien afin de semer les désordre dans les rangs adverses et pouvoir gagner la bataille du bien et du mal facilement...

Quand Othon entra dans la taverne, il fut tout de suite frappé par l'odeur nauséabonde qui y régnait .Il balaya la piece enfumée du regard et remarqua une bande d'hommes au visages recouverts, a demis cachés derriere un pilier de la salle. Il s'assit a une table et les observa . Au bout d'un moment, prenant son courage a deux mains, il appela le tavernier :
"dites moi, qui sont les hommes , las bas, derrière le pilier ?"
"oh, ce sont de fameux mercenaires, mais mieux vaut ne pas s'en approcher de trop près, il sont terribles ..."
"merci... Auriez vous une chambre pour moi ? Et ou logent ils , ces mercenaires ?"
"ppour la chambre, pas de probleme, quand a eux, ils couchent au .....

... boût de la ville, dans leur campement fait de yourdes en peau de bison gris du Lasha."

Othon monta dans sa chambre, et quand tout le monde dormit il sortit par la fenêtre qui donnait sur la rue à l'aide de ses draps qu'il avait noué ensemble.
Il alla jusqu'au campement des mercenaires où un grand feu luisait encore. Il distingua très vite la tente du chef. Elle était ronde et posée sur des palaites de bois. Il entra en opuvrant deux grande peau qui servait de porte.
Il croiyait y trouvé un grand lit avec le chef des mercenaires en train de dormir et avec peut être quelque femmes mais en fait ...

Quand il arriva au camp, n'étaient présent que deux ou trois hommes, assis devant un feu en train de boire quelques chopes d'une boisson quelquonque.
Il s'adressa alors à eux :
"Euh... Bonjour... votre chef n'est pas là ?"
Les trois types le dévisagèrent, d'un air surpris
"T'es pas encore couché à l'heure qu'il est gamin ?
_ Ouais, qu'est-ce que tu lui veux au chef, t'a plus d'argent et tu viens lui proposer les services de ta mère ?"
Les trois gardes s'esclaffèrent d'un rire gras. Décontenancé, Othon ne savait que répondre, il savait qu'il risquait sa vie dans ce camp, mais la peur de la mort l'avait quitté depuis qu'il avait pris la décision d'éradiquer les puissances du bien. C'était plutôt la peur de ne pouvoir mener à bien sa mission qui le tenaillait, et la rage d'être impuissant face à des misérables comme eux.
C'est alors que la chose fit son apparition...

Elle était encore plus hideuse qu'Othon ne l'imaginait...Deux grands yeux blêmes enfoncés dans des orbites démesurées, surmontaient une gueule munie de plusieurs rangées de dents acérées comme des épées elfiques. Un corps long et luisant, d'un gris verdâtre d'ou ne dépassait aucune patte.

D'un mouvement rapide, la chose rampa derrière les trois soldats et d'un seul coup de queue, elle les décapita. Puis, elle se mit à se repaître de leur sang. Othon était là, terrifié par la scène qu'il venait de vivre. Lui qui venait chercher du secours dans ce camp, le voilà seul devant trois cadavres de soldats. Il ne savait pas s'il devait appeler à l'aide pour détruire cette créature ou alors la laissé faire et utilisé ses capacités pour la suite de sa mission. Il lui vient à l'idée de se servir de la fée afin de dompter la chose. Mais il repensa au discours de la bête, laquelle désirait autant cette fée.

Le bruit de l'agression avait alerté le camp, en peu de temps, des dizaines de gardes étaient arrivés. L'un d'eux, un gars costaud, probablement issu d'une tribu du Nord, s'est approché d'Othon et lui dit d'une voix gutturale : " je suis Môrtg, chef de cette troupe de soudârds! Que me veux-tu nabot?

Othon allait prendre la parole quand soudain...

La Chose releva la tête de son repas. Comme un seul homme, toute la troupe se paralysa, observant chaque mouvement de la créature immonde et destructrice qui se tenait devant eux.
Lorsque La Chose se mit a parler, ce fut comme si chaque étincelle de vie venait d'être soufflée, et un malaise tenace s'empara de tous les mercenaires et d'Othon.
"Vous tremblez, et vous avez raison. dit elle, je suis plus puissante que vous tous réunis, et que bien d'autres encore. Je parlerais et vous obéirez."
La Chose promena son regard vide sur les hommes assemblés autour d'elle.
"Vous écouterez ce garçon, et vous accéderez a sa requete."
La Chose commença a s'éloigner, puis, sans ce retourner, elle ajouta :
"Je peux me trouver derrière vous a chaque instant, ne l'oubliez pa."
Et elle disparu.
Môrtg se tourna alors vers l'enfant et lui dit......

bien, qu'a tu as me dire, petit ?

Othon, reprennant courage , commenca a parler d'une voix forte :

-Je suis venu vous trouver ce soir pour vous prevenir d'une menace...Une menace qui pourrait nous emmener tous a la fin du monde ! Mais qui est responsable de tout ca ??? qui ? Les forces du Bien ! Elles vous mentent, elle sont perfides et vous entrainent a la ruine ! Tous ces Elfes, ces lutins, ces anges et ces Enths qui etaient autrefois nos amis se sont rebéllés et veulent détruire le monde de Loü !

Othon était emporté par sa fureur, et parlait, sans se rendre compte , avec la force et l'autorité dignes d'un chef de guerre..
il reprit, encouragé par les visages interessés des mercenaires...

"on nous a toujours apris que les forces du mal cherchaient à détruire le bien"

Un des guerriers l'interompirent :
" mais non, nous ne cherchons qu'a survivre. Il est vrai que certaines personnes chez nous ont cheché à obtenir le pouvoir absolu. Mais certaines personnes bonne n'ont pas hésitées à prendre tout le pouvoir pour eux.

Il y a très longtemps, le Bien et le Mal vivaient ensemble dans le Mitgard. Le Valala était la destination de vacances préférée des créatures de bien et le Niefel celui des êtres du mal.

Puis, un ange a pris le pouvoir total grâce à la caste des anges et a dirigé ces trois dimensions d'une main de fer. Il s'appelait Deo. Un jour, il à banni du Valala et du Mitgard le seule personnage qui avait osé s'opposer à lui. C'était un prophète du Mal, on l'appelait « le porteur de lumière » car il avait donné le feux à toutes les races. Il à d ‘ailleur créé les humains.

S'en suivit une guerre qui dura 4242 ans. Alors intervint une troisième fraction : l'Alliance du Mitgard. En effet, il existait beaucoup de populations marginalisée par les deux forces. Cette alliance fut proposé par les humains, race toute nouvelle créé par le porteur de lumière. C'est d'ailleurs le seule rôle important que les humains n'aient jamais joués dans l'histoire de Loü.

Alors, très rapidement, l'alliance gagna en force car les créatures avaient choisies le côté le moins dommageable pour eux. Maintenant quelles avaient un nouveau choix elle changèrent rapidement de bord.

Bientôt fut mené par trois factions :
1° Le Biens composé des elfes des bois et des anges menés par Deo
2° L'alliance. mené par Loü
3° Le mal composé des diables et des elfes sombres menés par le fils du porteur de lumière qui repris le nom de son père puis le transforma en Lucifer (en latin donc) qui faisait plus classe il trouvait.

Cependant, ce Lucifer n'était pas comme son père. Il était déloyale, fourbe, etc.


Rapidement, l'allience repoussa les anges dans le Valala et les satans dans le Niefel. Ils vérouillèrent les portes dimentionales avec des sorts puisants. Ce fut alors que l'on rebatisa le mitgard en Loü, en l'honneure du rassembleure des peuples du mitagard. Il était tombé lors de la dérnière bataille. Il fut tué par deux flèches elfiques : une sombre comme la nuit, l'autre brillante comme le soleil.

Mais les sorts ce sont éfrités et ont finis par céder. De nos jours, le bien et le mal vivent de nouveau ensemble, en paix. Enfin, j'usque à aujourd'hui, si ce que tu dis est vrai."

Othon n'avait pas bougé d'un poil pendant que le guerrier lui avait raconté tout cela.

"Oui c'est vrai", tonna t'li. Puis, réflechissant il demanda: " une chose m'intrigue : pourquoi les elfes sont-ils restés dans les deux cans?"

"Ah la la, c'est triste à dire, mais ils étaient là uniquement pour se combatre les uns les autres. Les autres peuples leurs étaient égaux. Ils avaient juste trouvé un térain de jeux pour laisser courire leure haine mutuelle accumulé pendant des milénaires."

"Et vous, qui êtes vous au faite?"

"Nous sommes la caste guerrierre des diciples du porteur de lumière. Et nôtre but est de tuer lucifer.Car il a tué son père"

"Il a tué son père? Mais pourquoi?"
"Il ne supportait pas d'être dans son ombre, il désirait le pouvoir plus que tout autre chose, alors il l'a prit"
"Bah il a fait simple... mais pourquoi vous voulez le tué? Après tout il est le chef du mal nan? Donc en tant que serviteur du porteur de lumière, et donc du mal, vous ne lui devez pas allègance?"
"J'y avais jamais réflèchis..." le curieux personnage resta devant l'enfant une bonne minute. Il parti en courant voir ses collègues pour leur expliquer cette nouvelle idée. Ils lui décochèrent un déluge de coup de haches. Le serviteur du porteur de lumière n'était plus qu'un tas de chaires flasques. La troupe de ses anciens amis se dirigeait maintenant vers Othon...

... "bon que veux tu à présent ?"

"J'aurais besoin de vos services, je vous paierais, pour libérer les Terres de Loü des oppressions des peuplades du bien qui on trouvé une sortie au Vallalha !"

"Tant que du nous payent on te suivra, mais si tu omet de nous payer tu servira de repas à nos montures"
Le guerrier montra un enclos ou se tenait des sortes d'ours avec de longues canines pointues qui dépassait de chaque coté de leur machoire ! Ils étaient haut d'au moins deux mètres et leut pattes comparables a celle des bisons migreurs des plaines de Freuch Sud. Bref, ils étaient terrifiants !

Othon se disait qu'il fallait mieux ne pas oublier de les payer !

"Ce des des Wizzards, s'exclama un des guerriers qui était occupé a leur lancer des lapins entiers, ils peuvent atteindre des vitesses avoisinant les 100 lieux par heure !

Othon ocha la tête d'un air impressioné. Puis il profita du silence qui suivit pour ré-aborder le sujet principal.
" Rassurez-vous mes amis, je n'ommettrai pas de vous payer. Si nous discutions maintenant de la technique à employer pour écraser ses misérables vermines du bien ?
_ Ben ouaip alors, si tout roule..."
C'est alors que la chose refit son apparition.

Elle sortit de derière un enclos et vint se poster juste derrière le chef et Othon, et leur sussura aux oreilles d'un longue langue fine et velue :
"Pour ce qui concerne l'organisation et le plan de bataille, je précise que je tiens evidemment à être de la partie... Siffla-t-elle d'une voix perfide. "
Othon acquiesça tandis que le chef, d'un regard exprimant un mélange de dégout, d'anxiété et même un peu de peur balbutia :
" Euh... ben... comme vous dites vous et le petit....
_ L'apparence ne reflète pas souvent les vrais valeurs des êtres....
Bien, si vous me le permettez -- dit la chose avec une sorte de sourire ironique-- je vais maintenant vous exposer un plan de conquête du territoire ennemi qui nous mènerai, selon moi, à une victoire certaine :

" tout d'abord, il nous faudra aller à Bergkhor , la ville commerçante, au nord, à mi chemin du delta de l'Oranh, face à l'ile de Jawark. Dans cette ville, il faudra engager les deux meilleurs assassins de la guilde. Puis avec ses hommes, nous irons..."

Tout un coup, un effroyable fracas se fit entendre. L'enclos des Wizzards venait de se briser et plusieurs bêtes fonçaient sur le groupe. Ce fut la débandade, les barabres courraient dans tous les sens, la "chose" avait disparu et Othon lui-même s'enfuiait, suivant Môrtg, espérant que ce dernier le conduirais à l'abri.

Au contour d'une yourde, le chef avait disparu et Othon se trouva nez-à-nez avec un grand Wizzard. La bête se mit debout sur ses pattes arrière, la rendant encore plus grande. Elle se préparait a attaquer. Othon, terrifié, pris le sifflet qu'il portait autour du cou. Il le porta a ses lèvres et souffla. La fée apparu immédiatement. Othon lui demanda de faire quelque chose. Dans un grand éclair,........

Othon disparu. Lorsqu'il rouvrit les yeux, il était allongé au centre d'une petite clairière. Une petite source coulait non loin de lui. Il se releva et alla boire longuement. Puis, il s'assit sur l'herbe et observa les alentours. La clairiere semblait etre un havre de paix, au milieu d'une foret terrifiante. Les arbres entremélés laissaient a peine passer les rayons du soleil, leurs branches tordues semblaient torurées. Othon se demanda ce qu'il allait faire en ce lieu inconnu. Il pensa a la fée, et fouilla dans ses poches. Un terrible malaise s'empara alors de lui. Il avait perdu le sifflet.

Il se leva rapidement et regarda autour de lui. mais le sifflet était introuvable...

il a du rester au campement, se dit Othon, il faut absolument que je le retrouve !

Il fit le tour de la calirière, et remarqua un petit chemin qui s'enfoncait dans la foret.
C'est alors qu'il vit une pierre pas comme les autres, mais une pierre qu'il avait déja vue !!Petite et grise , avec des nervures rouge presques transparentes .
Combien de fois il avait vu la meme pierre sur sa cheminée... son pere lui avait meme raconté son histoire :
Elle venait d'un endroit lointain. Ue foret pleine de sortileges et d'enchantement oubliés, laissés là par des magiciens qui avaient livré bataille sur ces terres. Ils avaient combattus longtemps et , le dernier en vie avait usé de ses dernieres forces pour recouvrir le carnage d'une épaisse foret qu'il avait nommé Kürft.Mais nul ne savait ou elle était située, les plus braves refusaient de s'y aventurer...C'etait un vieux voyageur qui lui avait remis cette pierre en jurant de garder secret le lieux de sa provenance .

Othon fot quelques pas vers la foret, puis il s'y enfonca sans jeter de regards en arriere .

Pendant qu'il marchait dans la forêt, il avait la très nette impression d'être observé. Soudain, il perçut un mouvement dans un buisson. Ne sachant trop que faire, s'en aprocher ou s'en éloigner, il décida finalement d'aller examiner ce buisson de plus près.

Ah là là, quelle erreure il comit en saprochant de ce buisson. Et il le regrettera encore bien longtemps plus tard.

Lorsequ'il fut a quelques centimètres du buisson, une main blanchâtre en jaillit, s'enfonça dans sa poirine et en aracha le coeur. Othon mourut à la seconde même....

Quelques jours plus tard, il se reveillat au milieu d'un pentacle, entouré d'un cercle d'hommes rabougris blanc-translusides. Il n'y avait aucun doute possible, c'était les fantômes des mages morts en ces terres lors de la terible bataille.

Le temps semblait suspendu, personne ne bougeait. Puis, lentement,il voulut se froter les yeux pour être sur de ne pas rêver. Quelle ne fut pas sa surprise lorsequ'il vit ses mains : de belles mains d'un blanc étincelant et étrangement translucides....

Le plus vieux des fantômes mages s'adressa à lui:

-"Othon, notre sauveur, ... tu n'est pas ici par hasard ... tu es magicien dans l'âme !"
-"Mais ... mais mon père ne ..."
-"Ca va peut être de faire un choc mais ce n'est pas ton vrai père, ... a ta naissance l'ordre des magiciens était en grand danger et on ne pouvait de garderavec nous ... on t'as donc dépossé chez ce pauvre homme à l'abri des regard curieux de la civilisation.
Et tu as grandi élevé comme unenfant normal ... mais au fond de toi tu as de grand pouvoir pour libéré l'ordre du maléfice pour qu'ensemble on libère ce monde en ruine qu'est Lou !"

" Mais pourquoi m'avez-vous laissé avec cet homme ? Quel danger pouvait bien me menacer ??
_ trop de questions tu poses pour le moment, jeune Othon. Des réponses plus tard tu auras. Pour le moment, tu dois juste savoir que c'est par notre volonté que tu es ici. Comme nous te l'avons dit, le monde Loü s'écroule, les forces du bien semblent emprises de folie et veulent éradiquer toute créature vivante ne se soumettant pas à leur idéologie. Drôle de façon de faire le bien.....
_ Mais j'avais déjà commencé à assembler une armée !
_ Certes, mais actuellement, tu n'a aucune chance de remporter la victoire contre des forces aussi puissantes. C'est pour ça que nous t'avons appelé jusqu'à nous. Nous allons t'initier aux rites anciens et procéder à l'éveil de la magie brute qui coule dans tes veines. Lorsque tu nous quittera tu aura appris à dominer cette magie et t'en servir à bon escient. Là tu pourra aviser de superviser la bataille selon ton choix, car il est écrit dans le livre des milles prophéties qu'au moment où le Chaos bénéfique ouvrira ses portes sur Loü, un mage nommé Othon surgira à la tête de la plus grosse armée maléfique jamais dressée et repoussera l'envahisseur pour s'installer sur le Trône noir auquel seront dévoués tous les peuples de Loü.

A ces mots, Othon tressailli. Il était une sorte d'Elu, promu à un rôle de libérateur. Plus encore qu'auparavant, il avait peur de sa destinée. Le fait d'être mort et d'être devenu une sorte de spectre ne faisait rien pour arranger son sentiment de mal-être.

Puis les questions commencèrent à affluer dans la tête de l'enfant. - "Et la fée ?" demanda-t-il au vieux mage. "Elle est notre avatar, nos puissances mentales réunies forment un être éphémère pour conduire les hommes sur le chemin de la vérité, tout comme les anciennes puissances du mal ont créé "la Chose"...tu l'as déjà rencontrée n'est-ce-pas? Othon aquieça. - "Elle est la force maléfique antique de ce monde...plusieurs démons sont morts pour la créer. Elle est dotée d'une puissance sans égal. A ces mots, Othon se rappela des mots de "la Chose" dans le camp des mercenaires.

Ainsi, il compris que son destin avait commencé à Fort Tard, lors de sa rencontre avec Gladulf. Il voulu encore poser milles questions mais un nouveau venu fit son apparition. Othon fut terrorisé. Il avait déjà vu des centaines de fois ce visage. Il s'en souvenait car les gens de son village en avait peur... Il venait de reconnaître Baal'r, un démon majeur qui vivait dans les Landes de Brume Nord...